CLICK  ah reum est une enfant. qui pleure ou rit facilement, gamine fragile qui ne sait pas contrôler ses sentiments, ni ses émotions et qui face à une scène telle que celle-là perd totalement son sang froid. une femme ou un homme plus mur aurait tenté de nager, de garder un minimum son calme et n'aurait pas voulu que la peur prenne le pas à sa place, mais elle, cette petite fille était loin d'être aussi forte. souvent couvée par son grand frère et toutes ces personnes qui l'a prenait sous son aile, elle ne comprenait même pas la notion danger. alors, quand elle y est confrontée, sa seule réaction et de paniquer, probablement de pleurer ou de hurler aussi. ainsi, elle ne comprit pas vraiment ce qui se passait ensuite et bien que quelqu'un soit là pour l'aider, la louve se débattait dans l'eau glacée. elle avait tellement peur d'y rester qu'elle n'agissait plus consciemment. et quand bien même il tenta de la calmer avec des phrases se voulant douces et rassurantes, hors, celle-ci n'entendait rien. ne voyait rien, et se laissait complètement faire quand leurs corps fût hors de l'eau. pratiquement inerte, il pouvait faire d'elle ce qu'il voulait. sur l'instant, elle n'était qu'un pantin. « hein ? ah.. euh .. oui ? pardon, qu'est-ce que vous dites... » la neugdae était perdue. et apeurée. tant que maintenant qu'elle était hors de danger, maintenant qu'il était à sa hauteur, qu'il réchauffait ses bras, ah reum leva les yeux vers lui en fondant en larme. le corps tremblait à cause du froid, mais également de peur, elle ne ... elle ne sentait plus ses muscles. et elle doutait que ses jambes puissent réellement la soutenir si elle se mettait à marcher. alors elle baissa à nouveau la tête, venant essuyer l'eau sur son visage, qui ne faisait qu'augmenter malgré ses efforts. « je... » non, ça n'allait pas. ah reum n'était qui enfant. une enfant qui aurait pus mourir s'il n'était pas passer par là.

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CLICK ah reum n'était pas rassurée. si elle était venue ici avec l'idée de trouver le fantôme, si elle avait vu l'occasion de mettre un mot sur cette histoire, elle avait finalement agit sur un coup de tête. à présent, contre l'établissement, dans le froid et le noir, elle commençait à avoir peur. De nature aventureuse, on aurait pu croire qu'elle serait plus solide que ça, qu'elle ne tremblerait pas à cause d'une histoire aussi hallucinante, ou d'une ombre sur le mur. Mais en réalité, Ah Reum avait quelques soucis avec l'obscurité. Elle était cette enfant qui, comme les gamines d'en dessous dix ans, dormait avec une veilleuse ou n'importe quelle source de lumière. Alors, face aux laboratoires, face  au noir de la rue, la blogueuse n'était pas sereine et rasait les murs sans faire attention à ne abîmer ses vêtements. Elle est tellement concentrée, tellement qu'elle ne remarque pas son amie et quand sa main se pose sur son bras, quand elle est proche d'elle, Ah Reum se fige, persuadée d'avoir été prise en flagrant délit. Là, toute sa vie défile et elle se voit déjà en prison. Elle a entendu les pires horreurs sur ce lieu, elle ne veut pas y aller ! Et quand elle entend le cri, elle se met elle-même à crier. C'est pas sa faute, ça lui fait peur à elle aussi. Et si elle calculait son pouls, elle est sûre de ne pas etre loin de la crise cardiaque. « Mais mais mais ! C'est pas ma faute, j'ai eu aussi peur que toi ! » c'est pas comme si y avait vraiment de quoi flipper en fait, mais bon. elle se pencha vers son amie pour écouter ce qu'elle avait à dire, ne voulant pas éveiller les fantômes elle non plus. « Toi d'abord hein ? » ce qui voulait dire que oui, c'était bien ici et que oui, elles allaient devoir entrées. Une nouvelle qui ne réjouissait ni l'une, ni l'autre. Alors elle attrapa la main de la gumiho et la guida jusqu'à une fenêtre qui était restée ouverte. « Les portes sont fermées, donc on va devoir passer par là. J'entre en première si tu veux mais... 'fin, tu me suis hein ? » quoi ? Comment ça elle ne paraissait pas rassurée ? Ah Reum prit son courage à deux mains et escalada l'obstacle, attrapa par la suite la première chose qu'elle avait sous la main en signe d'arme de défense. « tu crois qu'il faut faire un rituel ou un truc comme ça ? » elle n'en avait pas l'air, mais au fond, la louve voulait fuir, très loin du bâtiment.

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CLICK  Toute la scène se passe excessivement vite, elle n'a plus vraiment la notion du temps. Perdu dans ses sanglots et figée dans la froideur de ses vêtements collants. Ah Reum est essoufflée, de trop pleuré ((ou de cette lutte effrénée)). Elle ne sait plus qui elle doit remercier, entre le garçon qui la réconforte en frottant son bras ou ces quelques inconnus qui se renseignent, pour savoir comment ils vont. Questions qu'elle laisse au bon soin de son sauveur, tandis qu'elle tente petit à petit de retrouver son sang froid ; quitter sa peur. C'est difficile, elle ne peut que penser à l'eau qui s'engouffrait dans ses poumons, à la compression du liquide à l'intérieur de son corps. Elle n'a été dedans qu'un court laps de temps, alors pourquoi cette impression d'avoir été secouru après facilement deux heures ? Ah Reum pleure de plus belle. Silencieusement et contre le dos du blond. Et elle murmure des mercis, quand sa gorge lui permet l'ultime effort. Elle ne bouge que lorsqu'il entre à l'intérieur et s'installe où il la guide. Par pur instinct elle se colle au radiateur, comme s'il pouvait s'agir d'une bouée arrivant trop tard. Son corps est tremblant, ses mains qui étaient crispées sur les épaules du jeune homme sont maintenant collés au radiateur. Quand il s'en va, elle est presque tentée de le rattraper ; elle n'a pas envie de rester seule. Alors la gérante s'approche d'elle et passe une main douce et chaleureuse sur sa tête. Posant les serviettes sur la table, elle ne part qu'une fois que le garçon revient et Ah Reum lève un regard interrogateur vers lui, jusqu'à ce qui lui demande ce qu'il attends. La propriétaire leur propose d'utiliser la salle des employés pour se changer plutôt que les toilettes. Mais ah reum n'a toujours pas envie d'être seule. « O-oui... mais tu viens avec moi ? » n'y voir là aucune ambiguïté, elle se changera seule et restera dans son coin jusqu'à ce qu'il ait fini, simplement, le moindre bruit semble la faire paniquer. Alors elle se lève ((avec difficulté)) quand la chef revient vers eux et attrape la main du pompier. « ...merci. » aujourd'hui, Ah Reum n'est pas très bavarde, à ce moment, elle pourrait vraiment être muette tant son estomac lui fait mal. Et elle n'avance que lorsqu'il se décide à le faire. Enfant déjà fragile qui semble le devenir davantage suite à l'accident.

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ce n'est pas de la provocation. Ah Reum apprécie vraiment le garçon. Elle le jure ! Enfin elle se promet de tout faire pour passer un bon moment en oubliant qu'elle se sert de lui. Elle n'est pas méchante la louve, même pas consciente non plus de ce qu'elle fait. Au fond, elle sait qu'elle a choisit ce pub parce qu'il sera là. Elle a entendu une conversation qui disait qu'il y serait ce soir, lui et d'autres de ses potes. Alors si elle est venue là, si elle est au comptoir avec le garçon en face d'elle, c'est uniquement en attendant sa venue à lui. Parce que la louve est blessée, son cœur est meurtri. Elle a pleuré toute la nuit. C'est bête pour certains, beaucoup lui diront de lâcher l'affaire, mais elle ne peut s'y résoudre, elle a beau sortir avec beaucoup de mecs, aucun ne lui font ressentir ce qu'elle éprouve pour lui. Et elle croit vraiment à leur histoire, elle est sûre d'elle, elle est faite pour. Il devrait aussi être fait pour elle, ne devrait juger que par elle. C'est ce qu'elle pensait vraiment, elle y croit fortement, alors en le voyant en embrasser une autre ah reum eut la plus horrible des nausées. Encore ce soir, les images de la scène lui soulève le cœur. La blogueuse est assise au bar, avec un étudiant charmant, qui posent ses mains sur elle comme si elle lui appartenait. Il est doux, gentil, lui susurre des mots agréables et il l'a fait rire, mais derrière son sourire, elle a envie d'hurler. De pleurer. Pourquoi tout ne se passe jamais comme elle le veut ? « Tu as l'air déconnectée princesse, tu veux qu'on ailleurs ? » elle pense qu'il veut lui changer les idées, qui veut la soutenir et l'idée, elle n'a pas conscience de ce que cette question signifie et elle est tentée de dire oui. « Tu ne t'ennuis pas ? je ne suis pas très gaie ce soir... » elle s'excuse, de son manque de pep's. Lui promet de se rattraper au fils de la soirée et il lui sourit, la rassure. Lui assure qu'elle est toujours aussi fraîche, aussi mignonne et agréable. Ah Reum le croit, elle les croit toujours. Et quand il caresse l'intérieur de sa cuisse, embrasse son cou, elle n'est pas surprise. Ne le repousse pas non plus. Elle se dit que c'est ce dont elle a besoin, pour oublier la douleur au creux de son cœur. Elle veut qu'on prenne soin d'elle, qu'on soit doux et épris comme semble l'être l'apprentie vétérinaire. Elle aime la lueur passionnée qu'elle voit dans ses yeux. Et elle ne bouge pas quand il pose un baiser sur son front, quand il noue sa main à la vue de tous, continuant sa volée de baiser sur son visage. Et elle continue de le croire, de penser qu'il pourrait panser ses plaies, qu'il ne l'a veut pas que pour le sexe. Elle dit que peut-être, peut-être, il est celui dont elle a besoin. Elle en oublie jusqu’au lieu où elle est, n'entend même pas la clochette, ni cette voix qu'elle connait par cœur. De toute façon, elle s'en fiche, il l'a bien cherché, cet imbécile.

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